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Un conducteur sur quatre prêt à faire la sieste dans sa voiture autonome

Faire une sieste dans sa voiture autonome, un quart des automobilistes britanniques l'envisagent. Pas sûr cependant que la législation autorise une sieste confortablement installé à l'arrière, comme dans cette BMW Série 7 qui offre déjà de série la conduite semi-autonome.

Faire une sieste dans sa voiture autonome, un quart des automobilistes britanniques l'envisagent. Pas sûr cependant que la législation autorise une sieste confortablement installé à l'arrière, comme dans cette BMW Série 7 qui offre déjà de série la conduite semi-autonome. - BMW AG

C’est ce qui ressort d’une étude menée par le mandataire britannique WhatCar: 26% des automobilistes britanniques se sentiraient assez bien dans une voiture autonome pour y piquer un petit somme.

Faire la sieste pendant que sa femme, son meilleur ami ou son cousin conduit, personne ne se pose la question. Et quand c'est la voiture qui conduit toute seule, 26% des Britanniques interrogés par le mandataire WhatCar sont prêts à lui faire confiance. Un quart des conducteurs outre-Manche se sent donc suffisamment bien installé, pour piquer un petit somme pendant que la voiture s’occupe du trajet.

Discuter avec ses compagnons de voyage ou regarder la télé sont deux autres activités plébiscitées par les conducteurs (si on peut encore les appeler ainsi) de voitures autonomes. L’autoroute, puis les embouteillages en zone urbaine, sont les deux endroits, où les conducteurs se déclarent prêts à laisser le contrôle des opérations à leur véhicule. Tous ne sont cependant pas enthousiastes: 51% des personnes interrogées se déclarent peu en sécurité ou pas du tout en sécurité s’ils se retrouvaient derrière le volant d’une voiture autonome.

P. Ducamp